lundi 18 octobre 2010

En route, donc ...


C'est parti pour… quoi, pour où? Réponse (commune aux deux questions) : Londres, de pérégrinations (physiques, donc) en réminiscences, rêveries et digressions (psy … je ne sais quoi). Le nom a été emprunté à une chanson de Caetano Veloso découverte à l'occasion du Marathon des mots en juin 2007, interprétée de manière très convaincante par Maria de Medeiros (et reprise également par la chanteuse brésilienne Cibelle). J'aurais pu choisir une autre des innombrables (ou quasiment) oeuvres où apparaît cette ville (London calling par The Clash, par exemple), en prenant soin d'éviter London Bridge is falling down ou A foggy day in London town des frères Gershwin.

Je vais avoir à (m')expliquer pourquoi cet attachement, cette attirance qui ne s'émoussent pas. Et ceci me met face à une tâche que je trouve – pour moi-même du moins- toujours extrêmement ardue, à savoir répondre à la question : « Pourquoi aimes-tu …? ». Alors je vais devoir m'y efforcer, et, si j'y parviens, peut-être un peu de cette passion aura suinté et infiltré la blogosphère.

J'ai bien conscience de n'être ni le premier ni certainement le dernier à évoquer Londres. Mais je n'entends pas être un guide touristique (" Vous irez au ...è étage, dans la salle ..., pour trouver le président français au musée Madame Tussauds. ", "Comment aller au Parlement, à la tour de l'Horloge ou la Tour de Londres ...), plutôt un flâneur-fureteur qui suggérera la direction de.

Mais la britishness me passionnant également, j'entends aussi divaguer sur ce sujet, au gré de mes propres rencontres, guidées par une curiosité que je ne parviendrai jamais à assouvir.


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